De marchand de barbe Ă papa Ă dirigeant dâune entreprise de nettoyage pendant 40 ans.
Lâhistoire de Clinitex est intimement liĂ©e Ă celle de Thierry Pick.
Mon pĂšre a eu une scolaritĂ© chaotique, entre la sixiĂšme et la terminale, il change dâĂ©tablissement tous les ans.
Fin des années 70, il obtient péniblement un DUT en commerce à Valenciennes.
Ă lâissue de ses Ă©tudes, il ne trouve pas sa voie tout de suite.
Mais il avait la fibre entrepreneuriale.
DĂšs ses 15 ans, il vendait des barbes Ă papa sur la place du travail Ă Roubaix.
Une fois son DUT en poche, ses parents lâincitent Ă partir 4 mois aux Ătats-Unis pour quâil parte sâinspirer outre-Atlantique.
LĂ -bas, il entretient une correspondance postale avec eux, disant que ses projets avancent bien.
Dans la tĂȘte de ses parents : il travaille sur des beaux projets de boite, il rencontre plein de monde et tout fonctionne pour lui.
En rĂ©alitĂ© : il visite la Californie, il fait la fĂȘte et il va au concert de Bob Marley.
4 mois plus tard, câest la panique dans le vol du retour.
Il se demande ce quâil va bien pouvoir raconter Ă ses parents qui subvenaient Ă ses besoins lors de son voyage.
En bon cancre, il assumait dâavoir fait la fĂȘte, mais il avait un peu lâimpression de trahir leur confiance.
Il fallait quâil trouve quelque chose.
Dans lâavion, il ouvre le Herald Tribune et il tombe sur un article dâune entreprise qui propose des services de nettoyage textile.
Ă lâĂ©poque, les moquettes Ă©taient Ă la mode. Les murs, les canapĂ©s, tout Ă©tait recouvert de textile. Donc, il y avait une opportunitĂ©.
Thierry a une vision Ă ce moment-lĂ .
Il dĂ©chire la page de lâarticle et il dĂ©cide de monter sa boite de nettoyage textile (dâoĂč le CliniTEX, pour textile).
Il commence par acheter une blouse blanche pour faire sérieux.
Puis, il achĂšte sa machine de nettoyage (quâil ne sait pas utiliser).
Et il attend que le tĂ©lĂ©phone sonne.Â
Le tĂ©lĂ©phone ne sonnant pas, il demande Ă ses parents sâils ont des amis qui cherchent quelquâun.
Coup de chance : la fille dâun couple dâamis Ă eux venait dâemmĂ©nager dans un appartement qui avait Ă©tĂ© laissĂ© sale par les anciens locataires. Il fallait faire une remise en Ă©tat de la moquette.
Donc il part avec sa machine, mais rappelez-vous, il ne sait pas lâutiliser⊠il fait un dĂ©gĂąt des eaux dans lâappartement.
Il tue la moquette.
Malgré la prestation ratée, il sympathise avec cette cliente.
Et il finit par lâĂ©pouser. Câest ma maman â€ïž
VoilĂ la genĂšse de Clinitex.
Aujourdâhui Clinitex câest :
60 M dâeuros de CA
20 agences
4 000 collaborateurs
Je vous raconte cette histoire en ce jour un peu spĂ©cial puisque câest lâanniversaire de Thierry PICK.
Fier de poursuivre lâhistoire de Clinitex en portant les valeurs de confiance et en Ćuvrant pour la satisfaction de nos collaborateurs. Une histoire qu'il a commencĂ© Ă Ă©crire il y a 40 ans.
Bon anniversaire papa !
Lâhistoire de Clinitex est intimement liĂ©e Ă celle de Thierry Pick.
Mon pĂšre a eu une scolaritĂ© chaotique, entre la sixiĂšme et la terminale, il change dâĂ©tablissement tous les ans.
Fin des années 70, il obtient péniblement un DUT en commerce à Valenciennes.
Ă lâissue de ses Ă©tudes, il ne trouve pas sa voie tout de suite.
Mais il avait la fibre entrepreneuriale.
DĂšs ses 15 ans, il vendait des barbes Ă papa sur la place du travail Ă Roubaix.
Une fois son DUT en poche, ses parents lâincitent Ă partir 4 mois aux Ătats-Unis pour quâil parte sâinspirer outre-Atlantique.
LĂ -bas, il entretient une correspondance postale avec eux, disant que ses projets avancent bien.
Dans la tĂȘte de ses parents : il travaille sur des beaux projets de boite, il rencontre plein de monde et tout fonctionne pour lui.
En rĂ©alitĂ© : il visite la Californie, il fait la fĂȘte et il va au concert de Bob Marley.
4 mois plus tard, câest la panique dans le vol du retour.
Il se demande ce quâil va bien pouvoir raconter Ă ses parents qui subvenaient Ă ses besoins lors de son voyage.
En bon cancre, il assumait dâavoir fait la fĂȘte, mais il avait un peu lâimpression de trahir leur confiance.
Il fallait quâil trouve quelque chose.
Dans lâavion, il ouvre le Herald Tribune et il tombe sur un article dâune entreprise qui propose des services de nettoyage textile.
Ă lâĂ©poque, les moquettes Ă©taient Ă la mode. Les murs, les canapĂ©s, tout Ă©tait recouvert de textile. Donc, il y avait une opportunitĂ©.
Thierry a une vision Ă ce moment-lĂ .
Il dĂ©chire la page de lâarticle et il dĂ©cide de monter sa boite de nettoyage textile (dâoĂč le CliniTEX, pour textile).
Il commence par acheter une blouse blanche pour faire sérieux.
Puis, il achĂšte sa machine de nettoyage (quâil ne sait pas utiliser).
Et il attend que le tĂ©lĂ©phone sonne.Â
Le tĂ©lĂ©phone ne sonnant pas, il demande Ă ses parents sâils ont des amis qui cherchent quelquâun.
Coup de chance : la fille dâun couple dâamis Ă eux venait dâemmĂ©nager dans un appartement qui avait Ă©tĂ© laissĂ© sale par les anciens locataires. Il fallait faire une remise en Ă©tat de la moquette.
Donc il part avec sa machine, mais rappelez-vous, il ne sait pas lâutiliser⊠il fait un dĂ©gĂąt des eaux dans lâappartement.
Il tue la moquette.
Malgré la prestation ratée, il sympathise avec cette cliente.
Et il finit par lâĂ©pouser. Câest ma maman â€ïž
VoilĂ la genĂšse de Clinitex.
Aujourdâhui Clinitex câest :
60 M dâeuros de CA
20 agences
4 000 collaborateurs
Je vous raconte cette histoire en ce jour un peu spĂ©cial puisque câest lâanniversaire de Thierry PICK.
Fier de poursuivre lâhistoire de Clinitex en portant les valeurs de confiance et en Ćuvrant pour la satisfaction de nos collaborateurs. Une histoire qu'il a commencĂ© Ă Ă©crire il y a 40 ans.
Bon anniversaire papa !