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Arthur Auboeuf

Arthur Auboeuf

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Best Posts by Arthur Auboeuf on LinkedIn

Il y a un vrai problĂšme avec l’entrepreneuriat fĂ©minin.

Ça me choque toujours autant...

Ma copine a lancĂ© sa boĂźte rĂ©cemment. Elle s’en sort super bien, et elle commence Ă  avoir de l’exposition mĂ©diatique.

RĂ©cemment, j’ai lu un peu les commentaires d’un article du huffpost sur elle...

- « Merci papa et maman pour l’argent 😂 »
- « 8/10 avec son maquillage, mais 5/10 sans, je pense. »
- « C’est bien beau mais certains doivent travailler, eux !”

On en est encore lĂ  en 2021 ?

Les fonds levés par les créatrices de start-up ne représentent que 2% de la totalité des financements débloqués depuis dix ans pour la création d'entreprises en France.

Avec une telle mentalitĂ©, forcĂ©ment cette statistique n’est pas Ă©tonnante.

Tant que certains continueront Ă  rĂ©sumer les femmes Ă  leur maquillage et Ă  l’aide dont elles sont sensĂ©es bĂ©nĂ©ficier pour accomplir la moindre tĂąche (hors cuisine et mĂ©nage, allons), on se privera de trĂšs belles boites en France.

Les femmes se font moins confiance que les hommes lorsqu’il s’agit de lancer leur activitĂ©.
Normal, si on fait tout pour que ce soit le cas...

Il est grand temps que ça change.

J’ai hñte de voir de nombreuses entrepreneures botter des c** trùs bientît !

Histoire de fermer quelques clapets 🙃

Arthur,
Time for the Planet
Si ce post vous semble trop long pour ĂȘtre lu, alors vous ĂȘtes en danger :

En 2025, le monde entier traite des sujets infiniment complexes avec des tweets de quelques caractĂšres.

Les vidĂ©os sur le net doivent durer une pincĂ©e de secondes “pour avoir leurs chances”.

Sur les plateaux télé, les journalistes coupent la parole sans cesse, personne ne peut développer sa pensée


Dans notre monde digital, tout doit aller vite pour nous garder captifs.
Plus vite. Encore plus vite.

Chaque minute, on scrolle 25 sujets différents sur tiktok.

Le fond n’a plus vraiment d’importance, seule la forme compte.

Résultat : tout est abordé en surface, avec des punchlines et des contenus creux, « qui cliquent ».

La nuance, la discussion et la profondeur ne sont plus invitĂ©es Ă  la fĂȘte. Elles prennent trop de temps.

Tout devient « simpliste ».
Surtout nous.

On est pour ou on est contre.
Gentil ou méchant.
Ami ou ennemi.

C’est terriblement confortable, mais surtout sacrĂ©ment dangereux :

Une sociĂ©tĂ© qui ne prend plus le temps du dialogue, qui n’est plus consciente de la subtilitĂ© et de la complexitĂ©, c’est une sociĂ©tĂ© facile Ă  diviser. Et surtout Ă  manipuler.

Une civilisation de la paranoïa et de la peur, qui peut trùs vite laisser quelques fous trop puissants nous faire basculer vers ce que l’humain fait de plus sombre.

Alors, entre deux contenus, n’oubliez pas :

Prendre le temps de la rĂ©flexion, c’est de la rĂ©sistance.

Écouter d’autres avis, c’est de la rĂ©sistance.

Se souvenir que rien n’est jamais « simple », c’est de la rĂ©sistance.


📾 Federico Calandria

____________________

J’ai sorti rĂ©cemment mon 1er livre : « Le meilleur est Avenir ! ». J’espĂšre qu’il vous donnera beaucoup d’enthousiasme â˜ș
Post image by Arthur Auboeuf
En sauvant les baleines, Paul Watson nous a fait économiser 10 milliards :

RĂ©cemment, une Ă©tude du Fonds MonĂ©taire International (FMI) s’est penchĂ©e sur le coĂ»t que reprĂ©sente la mort d’une baleine pour la sociĂ©tĂ©.

Certes, ce calcul froid peut sembler déplacé, et quelque peu lugubre.

Pourtant, le sujet est d’une importance capitale :

Depuis quelques annĂ©es, beaucoup de spĂ©cialistes de l’économie s’intĂ©ressent Ă  la question complexe des « services ecosystĂ©miques ».

Il s’agit de calculer combien d’argent nous devons dĂ©penser pour « compenser » les dĂ©gradations de la nature.

Ces travaux sont devenus monnaie courante suite Ă  l’apparition des « hommes-abeilles » en Chine.

Dans certaines zones de l’empire du milieu, les pesticides ont tuĂ©s tellement d’insectes que les vergers doivent dĂ©sormais ĂȘtre pollinisĂ©s Ă  la main, par des milliers d’ouvriers.

Les dĂ©penses colossales pour remplacer les pollinisateurs naturels (en plus des coĂ»ts liĂ©s aux problĂšmes de santĂ© des populations, Ă  cause de ces mĂȘmes pesticides) ont permis de comprendre - enfin - que les services rendus par la nature ont une valeur inestimable.

Revenons donc Ă  nos baleines :

La conclusion de l’étude du FMI est formelle : chaque mort de baleine (non naturelle) nous coĂ»te collectivement 2 millions de dollars en services Ă©cosystemiques.

Avec Sea Shepherd France, Paul Watson a réussi à sauver environ 5000 baleines, soit 10 milliards de dollars. (Et 5000 vies
)

Ce hĂ©ro des temps modernes a pourtant Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© rĂ©cemment, et il risque la prison Ă  vie.

Le Japon, qui l’a fait arrĂȘter, estime notamment qu’il nuit Ă  une Ă©conomie juteuse.

On peut maintenant affirmer, d’aprĂšs le FMI, que c’est prĂ©cisĂ©ment l’inverse ! 🐋

Alors, pour Ă©viter Ă  Paul Watson de finir ses jours dans une prison, n’hĂ©sitez pas Ă  faire du bruit autour du sujet, et Ă  signer la pĂ©tition lancĂ©e par Hugo ClĂ©ment.
Post image by Arthur Auboeuf
Quand j’ai rencontrĂ© cette femme pour la premiĂšre fois, son projet se rĂ©sumait Ă  10 lignes de belles promesses sur une page web, avec rien derriĂšre.

Le concept de Green-Got ?
CrĂ©er une nouvelle banque qui permettrait de sortir notre Ă©pargne des Ă©nergies fossiles au maximum, pour l’investir vers la transition Ă©cologique.

Est-ce que Maud avait déjà monté une banque ? Jamais. Elle avait 26 ans.

Est-ce que Maud Ă©tait soutenue par un puissant milliardaire et de solides contacts ? Aucun. Elle sortait juste d’études.

On s’est rencontrĂ© lors d’un zoom en plein covid, devant 15 personnes. Quand elle a prĂ©sentĂ© son projet, beaucoup de gens avaient un petit sourire aux lĂšvres.

Le sourire qui dit :
« encore une qui va se planter ».

Et puis, il s’est passĂ© ce qui fait toute la diffĂ©rence : Maud et ses associĂ©s n’en sont pas restĂ©s aux jolis mots. Ils ont fait. Pour de vrai.

5 ans plus tard, les sourires sont plus discrets :

Green-Got gĂšre plus de 100 millions d’euros, pour 1,2 milliard de transactions rĂ©alisĂ©es.

Ils ont flĂ©chĂ© 30 millions d’euros vers la transition (trains, Ă©nergies renouvelables, traitement des dĂ©chets
), et donnĂ© 1 million Ă  des associations.

Je me souviens que quand les entreprises ont eu la possibilitĂ© d’investir dans Team for the Planet, Green-Got a Ă©tĂ© l’une des premiĂšres Ă  le faire.

Depuis, j’ai aussi investi dans Green Got, en tant que citoyen.

Parce que si « bien dire fait rire », je sais surtout que « bien faire fait taire ».

Et quand une jeune femme arrive avec de l’ambition et un beau projet, croyez moi : il y en a, du monde à faire taire.

Alors merci de ne pas avoir abandonné.

Merci de remettre la banque au milieu du village.

Et merci de rappeler qu’aucune voie n’est jamais condamnĂ©e đŸ’Ș
Post image by Arthur Auboeuf
Quittez votre job.

J’ai beaucoup d’échanges avec des grands groupes depuis quelques mois (dirigeants, comex, actionnaires majeurs...)

Mon constat est sans appel :

La pluspart de ces boĂźtes ne prendront jamais le virage de la transition Ă  temps.
Leur parler de la catastrophe climatique n’a absolument aucun effet.

Il faut ĂȘtre lucide : Ă  chaque fois, au moins 80% des dĂ©cideurs s’en foutent royalement. Et ça, ça suffit Ă  tout bloquer, malgrĂ© certains dirigeants sincĂšrement engagĂ©s et courageux ! (PlutĂŽt des femmes, d’ailleurs)

Leur sujet, c’est la tune. Les profits.
Peut importe le reste.

Par contre, je constate qu’ils ont une vĂ©ritable crainte, Ă©norme : que les “talents” se barrent.

Alors lĂ  croyez-moi, face Ă  ce “cataclysme”, ils sont Ă  l’unanimitĂ© prĂȘts Ă  dĂ©penser tout l’argent du monde, Ă  renoncer aux profits, et Ă  transformer leur boĂźte en profondeur, pour de vrai.

Vous avez envie d‘avoir de l’impact sur l’économie Ă  large Ă©chelle et vous bossez pour une boĂźte qui ne vous semble pas aller dans le bon sens ?

Cassez-vous. Changez.
Il y en a qui essaient de faire le job et qui mĂ©ritent de pouvoir embaucher (certains grands groupes aussi, mĂȘme s’ils sont rares).

Oui c’est ambitieux, risquĂ©, et difficile.

Mais croyez-moi, en plus de vous faire un cadeau, vous allez accĂ©lĂ©rer la transition violemment đŸ’Ș
Notre liberté est terriblement menacée :

“Avec ces histoires d’écologie, on ne peut plus rien faire. Ils veulent nous prendre toutes nos libertĂ©s !”

Ce discours, je l’ai entendu des centaines de fois.

Il va quand mĂȘme falloir que l’on percute : tout le sujet de l’écologie, c’est justement de faire en sorte que l’on puisse garder nos libertĂ©s !

👉 100 villages n’avaient plus d’eau au robinet l’étĂ© dernier en France.

👉 En ce moment mĂȘme, l’agriculture (et donc la nourriture) est sacrifiĂ©e dans certaines zones des PyrĂ©nĂ©es afin de prĂ©server le peu d’eau restant pour que les pompiers puissent agir contre les feux de forĂȘts Ă  venir.

👉 Dans le Var, les permis de construire sont gelĂ©s pour plusieurs annĂ©es car il n’y a dĂ©jĂ  plus assez d’eau pour tout le monde.

Ces situations extrĂȘmes se gĂ©nĂ©ralisent vitesse grand V dans l’hexagone, et l’interdiction de remplir sa piscine (en vigueur dans de nombreuses regions en ce moment) risque hĂ©las de n’ĂȘtre qu’une anecdote Ă©vidente dans le futur.

De la mĂȘme maniĂšre, plus la situation se dĂ©gradera moins nous pourrons faire de choses, car cela se rĂ©percute directement sur le coĂ»t de la vie : Ă©nergie, nourriture, loisirs.

Alors oui, l’écologie peut donner le sentiment Ă  certains de rĂ©duire quelques “libertĂ©s”.

Mais prenons un peu de recul :
le dérÚglement climatique, lui, va nous arracher trÚs vite nos véritables libertés.
Et ce sera autrement violent.

DĂ©sormais, nous sommes tous dans l’experience du dilemme du chamallow !
(Si un enfant réussi à attendre sans manger un chamallow, il a le droit à deux chamallow).

Les choses que nous refusons de changer aujourd’hui - au nom de la libertĂ© - vont prĂ©cisĂ©ment ĂȘtre celles qui nous priveront violemment de libertĂ© demain.

À nous de ne pas nous jeter sur le premier chamallow venu.
Post image by Arthur Auboeuf
Soyons honnĂȘtes, un grand pĂšre ne raconte pas Ă  ses petits enfants comment son entreprise a fait +18% de croissance en 2001, avec les yeux qui brillent.

Il ne leur parle pas non plus de son compte en banque avec émotion.

Ce qu’il raconte, c’est les 400 coups qu’il a fait avec ses amis.

Le jour oĂč il a rencontrĂ© cette fille qui a fait battre son cƓur plus fort que les autres.

Les balades qui l’ont Ă©mu, les apprentissages qui ont changĂ©s sa vie.

N’oublions pas ce qui fait rĂ©ellement la valeur d’une vie.

Elle passe trop vite pour ça.
Ça c’est un Lynx borĂ©al !
Il y en a 150 en France, et ils sont quasiment tous chez moi, dans le massif du Jura đŸŒČ

Oui, il y a ça chez nous, dans nos forĂȘts. Est-ce que ce n’est pas incroyable, franchement ?

Il peut peser jusqu’à 35kg pour 75 cm de haut. Et j’ai eu la chance de le croiser une fois.

Personnellement, au contact de ce monde merveilleux, j’ai de plus en plus de mal Ă  prĂȘter un semblant d’intĂ©rĂȘt aux « nouvelles collections » des marques de fast-fashion, au « dernier burger » de je ne sais quel fast food ou Ă  la « danse du ventre » qui cartonne sur tiktok.

Plus je vieilli, plus j’apprends à aimer la vie, la vraie.
Pas juste cette étroite fraction du monde, ultra-marketée, qui ne caractérise en réalité que notre petit systÚme humain, un peu nombriliste.

On grandit en ne s’éduquant qu’au prisme de notre « monde » Ă  nous : nos infrastructures, nos rĂ©alisations, nos histoires, nos « problĂšmes ».

Depuis quelques annĂ©es, je me rends compte que vivre uniquement dans ce monde lĂ , c’est passer Ă  cĂŽtĂ© de 99% du vrai monde.

Et une tendance me frappe : la nature autour de nous ne nous émeut plus.

DÚs lors, pourquoi s'efforcer de protéger ce qui est insignifiant à nos yeux ?

68% des populations de vertébrés ont disparu en moins de 50 ans.

N'attendons pas de devoir remplacer les abeilles par des drones ou les arbres par des aspirateurs Ă  CO2 pour ĂȘtre touchĂ©s par cette vie fascinante qui nous invite partout Ă  la dĂ©couvrir.

Je crois que c’est LA clef pour solutionner beaucoup de nos immenses problĂ©matiques actuelles, et sortir de cette tendance bien lancĂ©e depuis quelques dĂ©cennies qui nous conduit Ă  devenir officiellement l’espĂšce la plus « blasĂ©e » de cette planĂšte.

Il est encore temps đŸ’Ș
Post image by Arthur Auboeuf
Ces derniers temps, j’ai moins pris la parole à propos de Team for the Planet. Voici pourquoi :

Depuis 1 an maintenant, chez TFTP, nous sommes plus impliquĂ©s que jamais pour faire avancer LE blocage majeur de la transition Ă©cologique : le « business as usual » (dixit, les pratiques financiĂšres de l’ancien monde).

Oui, car vous aurez beau changer votre façon de vous dĂ©placer, de vous alimenter, de consommer
 tant que les rĂšgles du jeu du monde de l’investissement continueront d’encourager l’aviditĂ© et la prĂ©dation Ă  large Ă©chelle (Ă  coup de milliards), la tendance ne pourra hĂ©las pas s’inverser.

De nombreux Ă©conomistes & scientifiques l’expliquent trĂšs bien : les « standards » du monde Ă©conomique traditionnel ne sont juste pas compatibles avec les limites physiques de notre planĂšte.

Pour le dire concrĂštement, il est urgent de prendre en compte d’autres indicateurs que les profits financiers, et de dĂ©passer l’obsession de l’enrichissement maximal Ă  court terme, qui dĂ©truit tout.

Avec TFTP, nous avons participĂ© Ă  montrer que d’autres voies sont possibles, grĂące Ă  plus de 100 000 investisseurs Ă©clairĂ©s.

Ensemble, nous avons pu dĂ©montrer la pertinence d’un modĂšle d’investissement diffĂ©rent, basĂ© sur le « dividende climat », Ă  rebours du business as usual.

Ce nouvel indicateur prend désormais son envol, et grùce à de nombreux acteurs, le monde économique se pose de plus en plus de questions !

Sauf que pour aller plus loin (de maniÚre générale, et avec TFTP), il faut désormais embarquer les « hautes sphÚres » avec nous.

LĂ  oĂč se trouve le gros de l’argent.
Celui qui oriente littĂ©ralement la marche du monde
 et que « la finance » gĂšre en suivant des rĂšgles particuliĂšrement incohĂ©rentes au regard de l’époque.

Ce qui rend la tĂąche trĂšs difficile, c’est qu’auprĂšs du grand public et des mĂ©dias, ces sujets n’ont aucun Ă©chos :

C’est technique. Il faut parler d’actionnaires, de dividendes, de taux de rendements

Impossible de soulever les foules.

Bref : l’idĂ©ologie du business as usual est aussi dĂ©vastatrice que protĂ©gĂ©e par sa complexitĂ©.

Je ne vais pas vous mentir, s’attaquer Ă  ces sujets nous fait rĂ©guliĂšrement perdre foi en l’humanitĂ© :

On croise beaucoup de gens qui ont parfaitement compris le sujet, mais qui ne peuvent juste pas imaginer changer « pour de vrai ».

Pourtant, petit Ă  petit, on sent quand mĂȘme que certaines choses bougent.

Alors on continue de mettre les mains dans LE cambouis du 21 Ăšme siĂšcle (et on se retrouve mĂȘme, parfois en costard !).

Bilan : si vous me voyez moins prendre la parole Ă  propos de TFTP sur ce compte, c’est donc simplement parce que tout cela est complexe et pas vraiment adaptĂ© Ă  la rĂ©daction de posts linkedin.

On ne lĂąche pour autant rien, bien au contraire : on est dans le cƓur du rĂ©acteur đŸ’Ș

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PS : cette semaine, j’ai publiĂ© mon premier livre. Il s’appelle “Le meilleur est Avenir !” J’espĂšre qu’il vous donnera beaucoup d’enthousiasme !
Post image by Arthur Auboeuf
Le saviez-vous : la libellule est dans le top 10 des animaux les plus rapides au monde ! 100km/h !

Elle a neuf techniques de vol différentes, une vue à 360 degrés, et surtout, une capacité à encaisser 30G !
C'est bien plus que nos meilleurs pilotes d'avion !

Malgré l'apparente fragilité de ses ailes, la libellule peut maintenir un vol puissant à une vitesse de 4 à 9 mÚtres par seconde pendant plusieurs heures.

En revanche, elle est trÚs mauvaise en moonwalk : pour elle, il est totalement impossible de voler à reculons !

C’est d’ailleurs pour cela que les samouraĂŻs japonais en ont fait un symbole : celui des ĂȘtres valeureux qui « ne reculent jamais ».

Pensez-y lorsque vous la verrez gravĂ©e ou dessinĂ©e sur des Katana, sur la façade du dojo, oĂč sur des armures mĂ©diĂ©vales japonaises â˜ș

Petit, j’ai passĂ© littĂ©ralement des centaines d’heures tout seul au bord de l’eau, Ă  observer les plantes, les animaux et les insectes. Les libellules et les demoiselles (comme sur cette photo) m’ont toujours fascinĂ©.

Pourtant, dans ma bande, j’étais le seul que cela semblait intĂ©resser. Et aujourd’hui encore, je trouve que nous ne prĂȘtons pas assez attention au vivant et Ă  ses prodigieuses facultĂ©s.

Comme dirait Aurelien Barrau :
“le grand malheur des insectes c’est d’ĂȘtre nĂ©s sur terre.
Si on les avait dĂ©couvert sur une autre planĂšte, on ne parlerait que d’eux !”

Nous dépendons cruellement du vivant dans son ensemble, parce que nous en faisons partie.

Il va falloir nous en rappeler, avant qu’il ne nous le rappelle...

Il n’est pas trop tard pour ouvrir les yeux et s’émerveiller đŸ’Ș
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