On ne prĂȘte qu'aux riches, ça vaut aussi dans l'entrepreneuriat

Storytime

On a dĂ©marrĂ© avec trĂšs peu de fonds, 1000€ de capital social

Or, les banques et la BPI prĂȘtent 1€ pour 1€ de fond propre

Autant vous dire qu'avec 1000€ de prĂȘt bancaire ou de subvention, on ne va pas trĂšs loin. La seule solution pour aller chercher des financements non dilutifs, c'est de faire un maximum de rĂ©sultat net, clĂŽturer un exercice comptable et ainsi renforcer ses fonds propres (et payer des impĂŽts au passage of course). On a mis 2 ans

Le point positif, c'est que ça nous a forcĂ©es Ă  ĂȘtre rapidement tournĂ©es vers la rentabilité et apprendre Ă  vendre sans dĂ©penser des sommes astronomiques en acquisition. Dans ces cas lĂ , soit tu rĂ©ponds Ă  un vrai besoin, un “pain“ comme on dit dans le domaine startup, soit tu meurs. En parlant des bienfaits de nos probiotiques avec nos clients potentiels et globalement tous les gens qu'on croisait dans la rue, on s'est rapidement rendu compte que tout le monde Ă©tait concernĂ© par des problĂšmes de ventre

C'est comme ça que la gamme DIJO PARIS s'est naturellement étoffée autour de cette problématique, qu'on a cherché à personnaliser l'expérience, comme chaque ventre est unique

Finalement ĂȘtre pauvre, c'est le meilleur des exercices pour lancer son business !

On ne s'est pas rĂ©veillĂ©es un matin en se disant qu'on allait lancer la premiĂšre entreprise dĂ©diĂ©e au bien-ĂȘtre du ventre. Certes, on Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ©gĂšrement obsĂ©dĂ©es par les probiotiques avec Lisa. Mais le projet s'est affiné au fur et Ă  mesure, en pitchant 200 fois par jour

Souvenir de juillet 2019 : notre mini stand dans un restaurant healthy et nos flyers faits sur Canva “pourquoi prendre des probiotiques“